Avec ses plages paradisiaques, ses panoramas à la beauté unique, sa nature aux paysages exubérants, mais aussi le sens de l’accueil de ses habitants et la richesse de sa culture locale, la Martinique attire plus de 650 000 touristes chaque année. Avec tant d’attraits, rien de plus normal et mérité. Pour ceux découvrant pour la première fois les charmes de la perle des Antilles, il est cependant bon d’être affranchi des spécificités de la conduite sur l’ile. En effet, certaines pratiques de conduite insulaires bien spécifiques, ajustements de limitations de vitesses, mais aussi la densité du trafic ou encore l’état d’une partie du réseau routier nécessitent une certaine adaptation pour les néophytes. Passage en revue de ces petites originalités de la circulation en Martinique et de nos conseils pour y remédier, et ainsi parer à toutes mauvaises surprises pour profiter au maximum de votre séjour.
Louer un véhicule.
Le maillage du réseau de transports publics martiniquais et les horaires de desserte étant insuffisamment développés, la plupart des locaux et des visiteurs privilégient la voiture et se rendent chez Jumbo Car spécialiste location voiture martinique dans cet objectif. Attention cependant, il est rare que les loueurs louent des voitures à des conducteurs de moins de 21 ans, et ne disposant pas d’une expérience de conduite supérieure à un an. De plus, il est fréquent que les conducteurs de moins de 25 ans doivent s’acquitter d’un supplément
La vitesse et les limitations.
Bien que les réglementations routières qui s’appliquent sur l’ile soient les mêmes que celles qui ayant cours en métropole, certaines limitations de vitesse sont abaissées à certains endroits par les autorités préfectorales. Ceci afin de calmer les ardeurs de la conduite sportive locale. Dans les faits, cela implique que les plafonds de vitesse autorisés sont abaissés à 90 km/h sur la plupart des autoroutes et il est fréquent que les nationales du sud voient leur vitesse limitée à 70 km/h. Vous ne pourrez dépasser les 60 km/h sur la rocade de fort de France, en revanche, la circulation en ville s’effectue comme en métropole à 50 km/h, pour s’abaisser à 30 km/h en hypercentre. De façon générale, il est fortement recommandé d’avoir le pied léger sur l’accélérateur quand on circule sur l’ile. En effet, le climat tropical qui règne sur les caraïbes met à rude épreuve les routes locales et les services de travaux publics peinent à suivre le rythme d’apparition des nids de poule et autres dégradations. Le réseau secondaire est donc en assez mauvais état, il faudra donc également privilégier le choix d’un véhicule ayant un bas de caisse suffisamment élevé qui puisse le franchir sans encombre.
Anticiper les bouchons et la panne sèche
Les ralentissements pendant les heures de pointes sur les grands axes martiniquais n’ont rien à envier aux grandes métropoles, aussi, évitez de circuler aux heures d’affluence. Enfin, beaucoup de stations essence interrompent leur service après 21 h, prévoyez donc une réserve large de carburant ou renseignez-vous sur les rares pompistes ouverts en continu